Présentation
Roccat Vulcan II | |
---|---|
Dimensions | 463 x 152 x 33 mm (sans repose-poignets) 463 x 236 x 33 mm (avec) |
Poids | 949 g (sans repose-poignets) 1141,5 g (avec) |
Format | standard (105 touches) |
Switchs | Roccat Titan II Mechs (red ou brown) |
RGB / Logiciel | RVB touche par touche / Roccat Swarm |
Prix | 159,99€ |
Après un premier test de clavier qui concernait un modèle assez atypique, nous nous tournons vers un produit plus gamer, sans doute davantage dans l’ADN des fans de tech… encore que, vous le verrez, l’usage massif de diodes électroluminescentes – oui, ça en jette un peu plus que de dire LED – pourrait dissuader certains usagers et pas forcément les plus photosensibles d’entre nous.
Le Vulcan II constitue donc la nouveauté de l’été pour Roccat. Enfin, l’une des deux nouveautés estivales puisque le joujou est accompagné d’un modèle réduit, le Vulcan II Mini Air. Vulcan, les habitués des produits Roccat seront d’accord, nous connaissons. La marque constitue le haut de gamme de chez Roccat et perpétue une certaine exigence de qualité, de confort et de fonctionnalités avancées.
Au premier coup d’œil posé sur la bête, les fonctionnalités semblent ne pas avoir été négligées pour cette nouvelle version. On voit d’emblée la présence d’un large repose-poignets, on repère aussi la petite molette qui va bien dans le coin supérieur droit du clavier. Enfin, impossible de ne pas remarquer le rétroéclairage RVB que Roccat affuble de la terminologie AIMO et qui, selon le communiqué de presse de lancement, « produit des effets lumineux RGB aux couleurs vives ».
Roccat distribue deux coloris pour son Vulcan II : en blanc comme ici ou en noir, sur toutes les autres photos © Nerces pour H&Co
Conception générale
Au second coup d’œil posé sur le Vulcan II, on prend acte des dimensions du clavier. Un format standard donc avec ses 463 millimètres de long pour 152 mm de large et 33 mm de haut. Notez que cette largeur augmente évidemment beaucoup avec le repose-poignets qui a le bon goût d’être (aisément) amovible : une fois en place, l’ensemble mesure 236 mm de large.
Une disposition « AZERTY français » on ne peut plus standard, mais notez la présence de cette molette multifonctions © Nerces pour H&Co
Un encombrement très relatif pour un modèle « pleine largeur », c’est-à-dire qui compte le nombre classique de 105 touches disposées de manière encore plus classique pour un produit vendu dans l’Hexagone : ce bon vieil AZERTY français. Notez que le Roccat Vulcan II est un modèle relativement lourd : il accuse 949 grammes sur la balance (1141 g avec le repose-poignets).
Conçu pour prendre la suite du Vulcan 120, le clavier repose sur un châssis robuste associant fond en plastique et plaque « stabilisatrice » en aluminium. Vous pouvez le voir sur les photos, Roccat a soigné les finitions avec un chanfrein taillé au diamant de sorte que les arêtes ne soient jamais saillantes. Le résultat est élégant et agréable à manipuler.
L'extrême finesse des touches est assez remarquable... hélas tout autant que ce câble non-détachable © Nerces pour H&Co
Sur la gamme Vulcan, Roccat utilise depuis toujours des touches flottantes : les keycaps low profile retenues par le fabricant donnent l’impression d’être en lévitation sur un clavier frameless (sans cadre). Au-delà de l’aspect esthétique, ce type de construction a tendance à moins capter les nuisances sonores. Il est par ailleurs assez surprenant de voir Roccat utiliser des keycaps low profile, mais de rester sur des contacteurs pleine hauteur.
Évoquons la présence, dans la boîte, de ce repose-poignet que l’on fixe aisément à la base du clavier via deux petits clips. C’est moins classe que des aimants, mais souvent plus solide. Enfin, notons deux derniers points. Le câble USB est fin et de bonne longueur, mais il aurait sans doute gagné à être un peu plus souple et surtout, détachable. Enfin, nous y reviendrons, mais en plus de nombreux patins anti-dérapants, le clavier dispose de deux pieds repliables.
Nerces, tu travailles pas pour Clubic ? Tu es le même qui est passé chez Gamekult ?
Je travaille pour Clubic, mais s'il est possible de donner des coups de main, je ne suis jamais contre :)
Le même qui est passé chez Gamekult en effet. Et qui est parti avec les copains de la rédaction au moment de... voilà quoi.
Et on est très content que tu sois là quand tu peux 😉