Véritable arlésienne pour un Samsung qui a quelque peu manqué de réactivité par rapport à des marques comme le leader du marché, Oura, la Galaxy Ring a finalement été lancée en juillet dernier. En début d’année, nous avons pu mettre la main – ou le doigt – sur un exemplaire et le tester durant un peu plus de deux mois. Nous l’avons soumis aux traitements les plus extrêmes (?!) pour être en mesure de vous communiquer le fond de notre pensée quant à ce modèle en particulier, mais aussi aux bagues connectées de manière plus générale.
Une bague connectée, qu’est-ce que c’est ?
Tout de suite, nous sommes désolés pour ces rappels qui feront sans doute sourire certains d’entre vous, mais on s’est dit qu’il était important de clarifier quelques points avant d’entrer dans le vif du sujet. Une bague connectée est donc, comme son l’indique, un anneau que l’on va porter sur un doigt, mais pas n’importe quel anneau puisqu’il reprend certaines des fonctionnalités des montres connectées ce qui incite les anglophones à plutôt parler d’anneau intelligent ou smart ring.
Les concurrents sont nombreux, mais rarement de bonne qualité.
Forcément, l’intelligence de la bête dépend beaucoup des fonctionnalités imaginées par le fabricant de ladite bague. Dès le départ, les anneaux ont été pensés pour recueillir un maximum de données sur la santé de leur porteur : rythme cardiaque, température de la peau, oxygénation du sang… D’autres constructeurs ont toutefois eu l’idée d’intégrer une puce NFC à leur produit afin de proposer d’autres éléments (ouverture de portes, paiements électroniques…). Enfin, le suivi des phases de sommeil ainsi que celui des cycles féminins constituent les données les plus récemment intégrées par les constructeurs d’anneaux.
Oura est sans aucun doute le principal adversaire de Samsung et de sa Galaxy Ring.
Compte tenu du temps qu’a mis Samsung avant de sortir sa Galaxy Ring, vous vous doutez bien que la firme sud-coréenne n’est pas pionnière sur ce secteur. De nombreux anneaux connectés existent depuis déjà plusieurs années et des marques comme Circular, Ice ou bien encore Oura sont déjà présentes sur le marché, avec des fonctionnalités parfois très inégales. Notre objectif n’est pas ici de comparer la Galaxy Ring à ces concurrentes dans la mesure où… nous ne les avons pas eues entre les mains. Pour autant, nous tâcherons de prendre en compte les qualités/défauts de ces bagues dans notre retour d’expérience sur la Samsung.
Une jolie bague, légère avec ça !
Venons-en donc à la Galaxy Ring pour souligner, d'emblée, que Samsung fait plutôt bien les choses pour nous simplifier la vie. En effet, il ne faut pas oublier que, contrairement à une montre connectée, il ne sera pas ici possible d'ajuster l'appareil après l'achat. Forcément. Il est donc crucial de pouvoir opter pour une bague aux bonnes dimensions dès le départ. C'est là qu'intervient le baguier que Samsung peut nous faire parvenir contre la somme de 10 euros. Neuf tailles de bagues factices produites sur le modèle de la Galaxy Ring sont ainsi rassemblées dans une petite boîte que – dommage – Samsung ne reprend pas ensuite : un système de caution aurait peut-être été envisageable ?
Reste que ce baguier est très pratique. On prend le temps de tester plusieurs tailles d'anneau, sur différents doigts et après quelques jours – normalement ! – notre choix est fait. Il suffit alors de passer commande auprès de Samsung en sélectionnant la taille de la bague retenue. C'est aussi à ce moment-là que l'on va décider du coloris de notre future Galaxy Ring car, là non plus, il ne sera pas possible de changer. Samsung propose trois version de la Galaxy Ring, à vous de voir où va votre préférence entre noir, argent et or. Reconnaissons que cette dernière – celle que nous avons reçue pour le test – n'est peut-être pas la plus discrète, et ce, malgré la taille finalement pas si importante de la bague.
Livrée dans une petite boîte toute en sobriété, la Galaxy Ring ne fait pas dans l'esbrouffe.
Quelques jours plus tard, nous recevions donc notre Galaxy Ring taille 11 coloris or dans une petite boîte très élégante, très proche en apparence de celle du baguier. Nous l'ouvrons rapidement pour découvrir, non pas la bague, mais son module de charge au sein duquel est justement placée la bague. Le module de charge est un petit boîtier carré et transparent. Il est élégant et très compact mesurant à peine 5 centimètres de côté pour 2,5 cm d'épaisseur et moins de 60 grammes. Sur l'arrière de ce boîtier, un port USB Type-C, bien sûr, pour le relier au secteur et ainsi charger sa propre batterie.
Nous l'avons dit, dès lors que l'on ouvre ce petit écrin, il est possible de découvrir la Galaxy Ring proprement dite. Nous avons reçu la version dorée, mais en dehors du coloris le design est strictement identique d'un modèle à l'autre. La relative finesse de l'anneau est impressionnante – plus encore son poids d'à peine 2,3 grammes sur la taille 5 et jusqu'à 3,3 g sur la taille 15 – même si nous sommes d'emblée un tout petit peu déçus de constater que les bords sont légèrement « saillants » : nous aurions aimé quelque chose de plus arrondi, mais c'est évidemment une affaire de goûts. Affaire de goûts également le côté clinquant de notre version, mais sachez que seul le modèle noir est réellement plus discret.
Le boîtier de charge est un véritable pour la bague.
À l'intérieur de l'anneau, on note évidemment la présence des multiples capteurs ainsi que de trois LED qui servent à manifester la synchronisation et le fonctionnement de la bague en lien avec le téléphone. Plus important et surtout très ingénieux de la part de Samsung, sur le bord extérieur de l'anneau – mais côté paume de la main – un petit détrompeur est en relief. L'idée est ici de permettre la vérification et le remplacement éventuel de l'anneau sans avoir à le regarder et même si on se trouve dans l'obscurité. Tout simple et tellement malin.
Deux LED vertes sur les côtés et une rouge (ici éteinte) au centre pour, notamment, donner des précisions quant au statut de la batterie.
Pour en venir à un aspect plus technique, Samsung n'entre hélas justement pas dans ce genre de détails. La firme précise bien que la Galaxy Ring est en titane pour une grande résistance et que l'eau ne lui fait pas peur : il sera possible de prendre douche et bain ou même aller à la piscine sans craindre quoi que ce soit. Samsung précise « jusqu'à 7 jours d'autonomie » avec la batterie car il faut savoir que sa capacité dépend de la taille de la Galaxy Ring : de 18 à 23,5 mAh selon que l'on opte pour une taille 5 ou une taille 15. Sur notre taille 11, il est question de 19,5 mAh et la bague tient 6 jours avant d'avoir besoin d'être rechargée. Recharge qui prend un peu moins de 2 heures.
Si Samsung ne détaille pas la conception exacte de sa bague, il revient sur la configuration requise pour en profiter. En effet, et c'est le premier couac, impossible d'appairer la Galaxy Ring avec un smartphone Apple et, plus gênant encore, impossible également de l'appairer avec n'importe quel Android : il faut disposer d'un Samsung Galaxy avec Android 11 au minimum et au moins 1,5 Go de mémoire vive. Samsung enfonce le clou de l'enfermement à son écosystème en précisant que l'application Samsung Health et une connexion à un compte Samsung sont nécessaires. Vous voilà prévenus.
À l'usage ça marche comment ?
La charge de la bague et le smartphone compatible vérifiés, il est plus que temps d'installer l'application Samsung Health laquelle permettra, ensuite, l’appairage de la Galaxy Ring. Reconnaissons qu'à ce niveau, tout est très bien pensé. L'anneau passe par le Bluetooth du smartphone pour se connecter et nécessite ensuite quelques autorisations. Au premier démarrage, l'écosystème Samsung fait un petit check du micrologiciel de la bague afin de s'assurer que tout va bien et, ceci réalisé, il nous envoie sur la page d'accueil de Samsung Health en s'étant assuré que nous avions pris bonne note de la manière de porter la Galaxy Ring.
Rien que de très logique, mais les capteurs doivent être en contact avec la partie charnue de la phalange, et ce, peu importe le doigt retenu. C'est justement ici que le petit détrompeur dont nous parlions précédemment entre en scène : il suffit de le sentir avec l'autre main pour tourner et placer correctement la Galaxy Ring. Nous l'avons dit, Samsung confirme une certification IP68 pour une protection contre les poussières, mais aussi l'immersion et nous ne parlons pas ici de 10 centimètres dans la baignoire : non, avec son étanchéité 10 ATM, l'anneau peut aller au plus profond de la piscine.
Rien à craindre côté résistance aux projections d'eau ou à l'immersion : la Galaxy Ring se noiera après vous !
Puisque nous parlons activité sportive, évoquons de manière plus globale le comportement de la Galaxy Ring dans ces situations. L'anneau ne dispose pas de GPS, il ne sera donc pas question de vous localiser pendant une randonnée par exemple. En revanche, il mesure parfaitement le nombre de pas réalisés et se montre en mesure de déterminer quelle intensité d'exercice nous pratiquons. Pour ce faire, Samsung se base aussi sur le rythme cardiaque qui est, bien sûr, la valeur la plus intéressante. À ce niveau, rien à redire, le capteur mesure parfaitement les choses avec précision et réactivité.
Conçue pour être portée 24h/24, la Galaxy Ring nous accompagne jusque sous la couette.
L'autre grande partie du travail de la Galaxy Ring se passe pendant le sommeil. En effet, la bague est prévue pour être portée tout au long de la journée... jusqu'au cœur de la nuit. Là, elle prétend continuer à suivre notre rythme cardiaque, mais également se pencher sur la température de la peau pendant le sommeil et vérifier les différentes phases de notre nuit : éveil, paradoxal, léger et profond. De ces différentes données, la bague détermine un score de sommeil et, associé à l'activité physique pendant la journée, en déduit un score d'énergie qui évolue au fil de la semaine.
Enfin, la bague est prétendument en mesure de déterminer notre niveau de stress qu'elle classe en quatre catégories selon que l'on est détendu, un peu stressé, moyennement stressé ou que le stress est élevé. Bien sûr, ces données comme l'étude de la qualité de notre sommeil sont aussi le prétexte à un début de coaching. Là Samsung ne prétend pas remplacer un véritable coach, mais donne quelques pistes intéressantes et propose, par exemple une introduction à la méditation pleine conscience au travers de certaines rubriques de l'application Health.
Une application rudement bien pensée
L'application Health justement est au cœur de la réflexion de la société sud-coréenne car si la bague dispose de capteurs intéressants, c'est clairement l'analyse des données qu'ils transmettent par l'application qui permet d'en retirer quelque chose. De manière assez classique, Health vient ainsi compiler tous les retours faits par la Galaxy Ring. On se retrouve ainsi avec des graphiques précis pour étudier l'évolution de notre activité physique sur la semaine, sur le mois et sur l'année, mais également pour suivre notre niveau de stress ou la qualité de notre sommeil sur les mêmes périodes.
Nous n'avons pas été en mesure de mener notre test durant toute une année, mais le suivi sur un mois donne déjà des pistes d'améliorations et encourage l'utilisateur à aller plus loin dans sa prise de conscience. L'application Health est agréable à utiliser et si les rubriques sont relativement nombreuses, à aucun moment on ne se sent noyé. Au contraire, on prend très vite le pli et la recherche de telle ou telle information ne prend jamais plus de quelques secondes. Il est aussi possible de compléter le tableau que dresse Health avec des informations que les capteurs de la Galaxy Ring ne sont pas en mesure de fournir comme notre pression artérielle, notre glycémie, la composition corporelle ou les apports alimentaires.
Enfin, nous en avons très rapidement parlé dans la partie précédente, mais l'application Health se caractérise aussi par la mise en place de plusieurs « solutions » pour améliorer notre petit organisme. Cela passe en premier lieu par un coaching de sommeil qui définit une espèce « d'animal totem » et dispense divers conseils pour améliorer la qualité de nos temps de repos. Rien de bien extraordinaire à ce niveau, mais Health a le mérite de garder un trace de l'éventuelle mise en place de ses suggestions pour nous aider à vérifier une amélioration en lien avec ces conseils.
On peut ainsi compter sur des « exercices » pour mieux appréhender la phase d'endormissement et Samsung propose aussi des activités de pleine conscience afin de se détendre. Bien sûr, l'entreprise surfe sur le succès de ces techniques, mais ça ne fait de toute façon pas de mal de les essayer. Par ailleurs, Health dispose aussi de toute une partie dédiée à l'activité physique afin, cette fois, de proposer des vidéos comme on peut en trouver dans les salles de sport. Des vidéos qui, c'est aussi le cas des séquences de pleine conscience, ne sont hélas pas gratuites.
Samsung propose à chaque fois un accès libre sur tout un tas de vidéos, mais ces dernières ne constituent qu'une entrée en matière. Pour aller plus loin et renforcer sa pratique, il sera nécessaire de mettre la main à la poche, mais soulignons tout de même que l'ensemble est bien pensé : les propositions, même dans la partie gratuite, sont très variées et permettent réellement de se faire une première idée avant de payer. En outre, Samsung se montre très raisonnable et à aucun moment on n'a l'impression d'avoir le couteau sous la gorge.
Des restrictions peut-être ?
Ce coaching complété par des vidéos qui deviennent vite payantes est évidemment un petit défaut de l'écosystème Samsung, mais il faut reconnaître que l'entreprise met régulièrement à jour les séquences proposées et que tout cela a bien sûr un coût. Par rapport à d'autres fabricants de bagues connectées, Samsung se distingue en ne demandant aucun abonnement pour la consultation des données. Cela peut paraître la moindre des choses, mais plusieurs anneaux parmi les plus réputés enregistrent vos données sans retourner le moindre suivi... sauf à payer un abonnement.
Dommage, la Galaxy Ring ne mesure pas l'activité physique sous l'eau.
Certains auront raison d'objecter que Samsung est aussi le plus cher sur le marché, mais une bague Oura avec deux ans d'abonnement revient au prix de la Galaxy Ring... que l'on espère pouvoir garder plus de deux ans quand même ! De toute façon, Oura ou Samsung, la bague connectée est chère, très chère même et c'est sans doute le principal reproche que l'on peut faire à ces fabricants « majeurs ». Gageons que l'arrivée de concurrents toujours plus nombreux – notamment en provenance de Chine – vienne réduire les prix.
De multiples bagues « chinoises » existent avec moult fonctionnalités : c'est souvent de la crotte... sans rien de comparable avec la Galaxy Ring.
Au-delà des questions financières, c'est surtout l'absence de certaines fonctionnalités qui nous semble critiquable sur la Galaxy Ring, et la plupart de ses concurrentes d'ailleurs. Par exemple, si la bague est parfaitement étanche, les activités physiques dans l'eau ne font l'objet d'aucun suivi... la faute au passage de l'eau au niveau capteur qui rend impossible la moindre mesure. Dommage. De la même manière, si la Galaxy Ring s'est montrée particulièrement réactive dans le suivi du rythme cardiaque, il y a tout de même quelques absences, quelques ratés. Heureusement, rien de méchant.
Que Samsung ne travaille pas déjà à une Galaxy Ring 2 serait étonnant : avec un petit écran OLED ? (vue d'artiste)
Plus gênant, nous émettons quelques doutes quant à la perception du sommeil par la bague : elle nous a déclaré endormi pendant de bonnes périodes alors que nous savons, de manière certaine, que nous étions éveillé... certes immobile, mais bien éveillé ! Enfin, compte tenu du prix de ces bagues, il nous semble indispensable que des options comme une puce NFC et la possibilité de payer à distance soient proposées. Nous aimerions aussi que de tels anneaux intègrent un mini écran ou au moins quelques LED en plus pour, par exemple, afficher l'heure ou diverses notifications. Sans remplacer la montre connectée, cela leur donnerait des atouts supplémentaires.
Conclusion
Reconnaissons que, de base, nous n'étions pas forcément convaincus de l'intérêt d'une bague connecté. Nous étions intrigués par ce « nouveau » gadget technologique, mais avions du mal à cerner exactement les atouts d'un tel produit... Ah non, une fonctionnalité particulière nous intéressait grandement : le paiement à distance via puce NFC pour que les choses soient encore plus simples que de payer avec son smartphone. Las ! Ce n'est pas possible avec la Galaxy Ring et, en réalité, rares sont les bagues autorisant ce genre de chose... et même aucune n'est disponible en France ! Nous avions aussi dans l'idée qu'un anneau connecté aurait permis d'avoir des notifications sur ce que reçoit notre smartphone, mais non, rien de tel non plus.. Tant pis.
Nous aurons évidemment à cœur de vérifier ce que nous permettront de faire les prochaines générations d'anneaux connectés, mais tout n'est pas à jeter pour autant dans les produits actuellement disponibles en général et sur cette Galaxy Ring en particulier. D'abord, nous avons été impressionnés par le nombre de données qu'un si petit objet permet de recueillir et le tout avec une facilité d'utilisation assez déconcertante. Là, l'environnement logiciel mis au point par Samsung est un modèle du genre et l'application Health une vraie petite merveille. Hélas, nous sommes plus dubitatifs quant à la précision de certaines mesures et, notamment, du suivi du sommeil. Rien à redire en revanche sur le suivi de la fréquence cardiaque ou le calcul du nombre de pas et de l'activité physique réalisée.
La Galaxy Ring n'est PAS un dispositif médical, il ne faut donc pas le prendre comme tel, mais pour suivre son activité physique et vérifier sa bonne forme avec de nombreux conseils avisés à l'appui, Samsung fait le job. L'autonomie est bien plus importante que celle d'une montre connectée et on aurait presque tendance à l'oublier... alors que les bijoux, ce n'est clairement pas notre truc ! Reste la question du budget. Nous n'aurions pas été contre un produit à ce niveau de prix (près de 450 euros), s'il intégrait davantage de fonctionnalités. Bien sûr, tout dépend de votre budget, mais, en l'état, nous préférons attendre une Galaxy Ring 2.
Points chouettes | Points moins chouettes |
---|---|
Anneau léger et confortable | Incompatible iPhone, restrictions sur Android |
Capteurs efficaces, précisions de (presque toutes) les données récoltées | Capteurs inefficaces dans l’eau |
Écosystème global Samsung très bien pensé | Certaines fonctionnalités manquent à l’appel (NFC, notifications...) |
Bonne autonomie, batterie intégrée au boîtier de recharge | Prix très élevé |

Je vais être honnête, je n'aime pas le ton de l'article, façon vidéo youtube, faussement enthousiaste pour sonner vrai, au contenu finalement assez maigre et superficiel qui se rapproche plus des publireportages avec les liens d'affiliations à la fin qu'on trouve sur Clubic.
Pas trop ce que je m'attends à trouver sur H&Co, mais je ne dois pas être la cible de ce genre d'article.
Alors je me permets juste de répondre sur quelques points, Nerces complètera si besoin :
Après, comme tu l'écris, tu n'es probablement pas la cible de cet article, navré qu'il t'ait déplu et merci pour l'honnêteté de ton message, mais je tenais à bien préciser qu'il n'y a pas de pub déguisée ou autre ici.
Pas grand-chose à ajouter sur ce qu'a précisé Éric.
Par contre, si tu trouves que le contenu est maigre, c'est que tu t'attendais à des choses en plus : au-delà du fait que cet article ne prétend pas à l'exhaustivité, je suis à l'écoute, n'hésite pas à me signaler des choses que tu aurais aimé y trouver, des questions auxquelles il ne répond pas.
Pas de soucis les gars !
Je suis un vieux de la vieille et j'apprécie davantage les articles sur les CPU/GPU que vous pondez savamment, bien plus que ces gadgets électroniques dont je ne perçois pas l'intérêt et dont (j'ai l’impression) que c'est l'auteur qui essaie de faire monter la sauce et de justifier de l'intérêt dudit gadget. Mais bon, encore un fois, j'entends bien passer totalement à côté du truc car pas la cible de ce genre de bidule.
Bonne continuation à H&Co et Nerces,
Tendresse & chocolat!
Eric, Nerces et moi même, on a dépassé la 50 aine ou ça va se faire d'ici quelques semaines. C'est juste essayer pour pas mourir con, y a 0 prétention dans cet article, hormis présenter un truc qu'on connait pas. Je loue le courage de Nerces au contraire d'avoir essayé, car moi aussi je suis pas la cible, mais au moins j'en sais plus !
La conclusion que j'ai en lisant l'article, INUTILE (pour moi).
Bon déjà que je n'ai pas de montre connecté, il me faudrait pour succomber une vraie mesure de la tension.
Pour le ton de l'article, perso justement ca change, on est pas sur un test "scientifique" mais un retour à l'utilisation qui je trouve se prête bien à ce genre de produit justement.
Après publireportage ou pas (ce qui n'est pas le cas) TANT que c'est indiqué clairement dés le début, je ne suis pas contre au moins on sait où on mets les pieds, le tout est de ne pas vendre son âme comme tant d'autre ^^
Merci pour l'article. Bon l'exclu Samsung et l'orientation uniquement santé font que ce n'est pas pour moi.
Par contre la même chose avec un affichage discret de l'heure sur demande et pouvoir programmer un peu de gestuelle simple pour lancer des actions basiques sur le tel ça me plairait... Mais pas évident j'imagine de rendre le bouzin tactile vu que c'est en contact avec les doigts d'à côté tout le temps 🖐
Hello,
L'article suffit pour se faire une idée de l'objet testé.
On est pas dans le deep testing mais au moins ca permet d'être objectifs sur le but de cette bague.
Déjà si tu as une montre connectée, la bague est à mon sens 100% useless et ensuite, ce sont les 1eres générations, le recul est assez maigre sur les produits, donc c'est déjà top d'avoir fait 1 mois de test sur l'objet.
Pour finir, je préfère 100x avoir des liens sponso dans l'article que des pop-up de pubs dans tous les sens.. (et vu le nombre de sites toujours dans ce mode là, c'est appreciable).
Force à vous Hardware & Co ;)
Ils ont testé dans la Terre du Milieu et ça s'est mal fini 😅
Eric va se mettre aux cockring et faire des retours d'expérience ! 😁