Banniere Asus Rog Ally

Caractéristiques techniques

Commençons par le commencement en faisant un tour des caractéristiques telles qu'annoncées par le fabricant.

Sur le papier, nous sommes dans un format qui rentre dans les critères d'une console portable. Comparée à une Switch de chez Nintendo (239 x 102 x 13,9 mm), la ROG Ally est un peu plus volumineuse, sans en devenir trop grande pour autant.

Avec sa livrée blanche et son rétroéclairage RVB sur chaque joystick, la console annonce fièrement la couleur et se veut être le parfait compagnon de tout joueur qui se respecte. Un style qui plaira ou pas, mais que nous ne jugerons pas tant il est subjectif. Côté poids, et pour continuer la comparaison face à la portable de chez Nintendo, la ROG Ally fait 200 grammes de plus. Sans en faire un poids lourd, cela reste significatif sans pour autant être gênant à l'usage. Par contre, il semble clair que pour ne pas créer un appareil trop pesant, Asus a fait le choix de diminuer l'épaisseur des plastiques, ce qui leur fait perdre cet aspect de robustesse que les possesseurs de portables ROG peuvent connaître. Ce n'est en rien rédhibitoire, mais que vous en soyez prévenus.

La comparer simplement à une console portable n'étant pas très équitable, quid des différences avec le Steam Deck de Valve qu'elle semble directement concurrencer? Ce dernier mesure 298 × 117 × 49 mm pour 669 grammes. Ici la ROG Ally est bonne élève, étant plus fine, plus courte et 80 grammes plus légère. À l'intérieur - pour le modèle équivalent à 512Go de stockage de la marque au piston- on a toujours une dalle 7" mais en 1280 par 800 (16:10) à 60Hz et surtout un APU Zen 2 "Aerith" à 4 cœurs et 8 threads, gravé en 7nm, cadencé à 3,5GHz pour un TDP allant de 4W à 15W et équipé d'un iGP RDNA 2 à 8 unités de calcul, moulinant pour sa part à 1,6GHz. Rappelons que l'on parle d'une machine sortie en 2021, 2 années technologiques les séparent donc, ce qui n'est pas rien dans le monde du hardware.

ROG Ally
CPU Ryzen Z1 Extreme
8c/16t, 24Mo de cache, Cadencé à 5,1GHz
GPU Radeon 780M
RDNA3
12 CU
Cadencé à 2,7GHz
Ecran 7", 16:9
1920x1080, IPS
120Hz
Tactile 10 points
RAM 16Go LPDDR5
Stockage 512Go
M.2 NVMe
Connectique 1x 3,5mm Combo Jack
1x USB 3.2 Type-C / DP 1.4
1x microSD
Connectivité Wi-Fi 6e
Bluetooth 5.2
Batterie 40Wh
Alimentation 65W, connecteur Type-C
Dimensions 280 x 111 x 32,4 mm
Masse 608 grammes
MSRP 799€


Ce modèle de chez Valve se monnaye actuellement pour 629€. Est-ce que le boost technologique apporté par la puce Phoenix, le moniteur plus évolué, les DEL et la connectivité plus moderne valent les 170€ qui les séparent ? Nous vous laisserons en juger.

Au niveau de l'écran, nous avons un affichage de 7" de diagonale, capable d'afficher 1920 pixels de large pour 1080 de haut, dans un ratio 16:9 tout à fait standard. La dalle est donnée pour avoir un taux de rafraîchissement de 120Hz, chiffre tout à fait marketing, car tout intéressante que soit la puce AMD Ryzen Z1 Extreme, peu nombreux sont les jeux qui arriveront à s'offrir 120 images par seconde en FullHD sur cet appareil. Pour continuer la comparaison avec la Steam Deck, est-ce qu'il n'aurait pas été plus judicieux d'opter pour un plus sage 1280 par 720 pixels en jouant la carte des hautes fréquences plutôt que d'aller chercher à afficher du 120Hz en FullHD pour faire mieux que la concurrence ? Les tests nous le diront.

Avant de nous attarder sur les composants internes grâce à un coup de HWInfo, regardons sa connectique. On y trouve un port combo jack 3,5mm qui vous permettra de brancher casque et micro sur une seule prise, située sur le haut de l'appareil. À côté de ce port, un autre microSD (SD, SDXC, SDHC), un combo USB 3.1 (DP 1.4) et XGm (pour y brancher un GPU externe grâce au ROG XG Mobile), deux boutons pour réduire et augmenter le son et le bouton d'allumage. C'est sommaire, peut-être même un peu trop pour un appareil à destination d'un joueur PC. Vous devrez choisir entre alimenter l'appareil ou connecter votre périphérique préféré.

Une fois cela dit, investiguons maintenant un peu plus loin ce matériel via un coup de HWInfo.

Attention à cette capture qui pourrait vous induire en erreur. Si le Ryzen Z1 Extreme est bien détecté, son TDP ne l'est pas. Affiché à 45W, ce dernier sera limité entre 9 et 30W. C'est une erreur d'affichage que la marque a corrigé sur son site, mais qui ne l'était pas encore sur HWInfo au moment de notre test. Hormis ce point, le reste des informations est valide. On a bien un processeur "Phoenix" en architecture Zen 4, gravé en 4nm, à 8 cœurs et 16 threads ayant une fréquence boost max de 5125 MHz et 16Mo de cache L3. Pour la partie graphique, l'iGP est effectivement une Radeon 780M, mais pas clairement identifiée comme telle. À savoir que dans sa configuration de base, la console ne vous permettra d'atteindre un TDP de 30W que sur secteur, une fois sur batterie vous devrez vous contenter de 15W pour éviter que la batterie ne se décharge en seulement quelques minutes.

Les 16Go de LPDDR5 sont de chez Micron, tout comme le SSD M.2 NVMe 4x qui est le seul stockage interne de l'appareil, le port microSD étant votre seul espoir d'en ajouter. Puisque l'on parle d'un de ses composants, voici la tranche haute de l'appareil, où vous trouverez toute la connectique.

Rog Ally Tranche

Asus a fait dans la simplicité, deux LEDs vous indiqueront que l'appareil est en fonction et s'il manque de batterie, pour le reste c'est réduit au plus simple appareil comme on l'a vu précédemment. Cela manque clairement d'un second port USB, mais l'ajout d'un emplacement microSD est le bienvenu, car c'est peut-être le point le plus limitant de l'appareil. 512Go de stockage, c'est peu, surtout aujourd'hui que le moindre jeu vient vous en prendre une centaine. Si vous êtes du genre à jouer à plusieurs jeux en même temps, il voudra faire des choix, car sur du jeu 3D récent, votre bibliothèque se limitera vite à 5 ou 6 titres. Voyons maintenant la bestiole dans le détail côté extérieur.

Le petit stand sur lequel repose la bête est livré en bundle. Juste un petit bout de matière compressée à l'effigie de ROG, mais il fait bien son travail. L'appareil est donc globalement un écran, entouré d'un gamepad type Xbox. Asus y a cependant ajouté sa touche personnelle, puisque 2 gâchettes programmables à loisir viennent se loger à l'arrière de l'appareil. Un ajout très pratique, de nombreux jeux nécessitant des combos de touches pas toujours faciles à faire par tout le monde, qui seront remplacés par une simple pression du bout du doigt. Les évents à l'avant sont là pour les haut-parleurs stéréo (qui permettent de jouer sans casque au besoin) et ceux à l'arrière sont situés à l'aplomb des ventilateurs en charge de dissiper les ardeurs des composants embarqués.

D'ailleurs puisqu'on parle de ce qui l'anime, il est temps de l'ouvrir pour y jeter un œil !

Six petites vis à l'arrière de l'assemblage vous permettront d'accéder aux composants. Notez que les aérations sont protégées d'une grille (non amovible) qui permettra d'éviter à la poussière de s'accumuler trop rapidement dans le circuit d'air. Côté réparabilité, ça n'est pas gagné, seul le SSD M.2 peut être démonté et lorsque vous voyez son format 2230, vous comprenez pourquoi le stockage se limite à 512Go. Pour information, un SSD M.2 NVMe 2230 de 1To tourne aux alentours des 130€, là où un 512Go se trouve pour environ 80€. Passer à 1To aura donc un coût, et cet écart de 50€ aurait certainement fait bondir le MSRP de la console d'une bonne centaine d'euros.

La RAM, soudée, se trouve sous la plaque située sous le raccord entre les 2 modules de batterie, et l'APU profite seul du système de dissipation conçu pour la console. Nous n'entrerons pas dans le détail des capacités de l'assemblage ici, puisqu'une partie de l'article est dédié aux performances, tant du matériel que de son système de dissipation. Mais cet ensemble caloducs/radiateurs/ventilateur a un nom, Zero Gravity, et il est donné pour capable de supporter différentes inclinaisons. Dans les faits, l'appareil préfèrera être positionné à la verticale. Si vous le posez à l'horizontale, la chauffe sera plus grande. De plus, puisque l'arrière n'est pas uniforme à cause des grips latéraux, il faudra faire attention à ne pas la poser sur un élément capable d'obstruer les entrées d'air.

Comme pour les portables gaming ROG, un capteur optique est installé sur le PCB (à droite dans un rectangle de mousse) pour éviter de mettre l'appareil en fonction alors qu'il a les puces à l'air. Une fois remontée, il faudra rebrancher la ROG Ally au secteur pour qu'elle accepte de redémarrer. Dans tous les cas, à part si un module M.2 de 1To à ce format devenait disponible, ou pour nettoyer la bête après quelques mois en compagnie de votre chat, il y a peu de chances que vous ayez besoin de mettre les doigts à l'intérieur. Pour la réparabilité, elle n'est pas au programme, comme c'est souvent le cas lorsque la miniaturisation est poussée.

La batterie est donnée pour une capacité de 40Wh dans la fiche technique, ce sont donc deux blocs de 20Wh que l'on trouve répartis de part et d'autre de l'appareil pour l'équilibrer. La ROG Ally pourra être alimentée via une alimentation (ça alors !) fournie de 65W. Cette dernière sera capable de recharger les batteries en 2 heures, si vous n'utilisez pas l'appareil en même temps. 65W pour une puce qui plafonne à 30W, ça laisse une belle marge pour les autres composants et l'usure de l'alimentation. Côté format, ce bloc ressemble à ceux qu'Asus vend avec ses Vivobook, soit une grosse prise, qui finit cependant sur un USB Type-C.

Côté logiciel

C'est le moment où vous devez transpirer si vous avez déjà eu du Armoury Crate sur une machine ROG. La ROG Ally ne dénote pas dans la gamme, mais elle a le droit à une version rien qu'à elle avec Armoury Crate SE.

En visant le monde des Consoles PC, Asus a fait évoluer Armoury Crate pour lui donner un air de "Launcher" comme Valve l'a fait avec son Steam Big Picture. Dans l'ensemble, le tout est assez facile à comprendre et à prendre en main. Par contre, dans les faits, vous pourrez vous en passer, car même si les jeux apparaitront sur l'accueil du logiciel, les lancer par ce biais ne fera que lancer le véritable launcher du jeu (par exemple ici la fabuleuse EA App pour Star Wars : Jedi Survivor), vous obligeant alors à naviguer dans l'application pour lancer votre jeu à la main. De plus, certains launchers ne sont pas pris en charge de base, ce qui ne vous empêche pas d'intégrer les jeux à l'accueil tout de même via le bouton "Ajouter" en haut à droite (mais rebelote, ça lancera le launcher auquel le jeu est lié).

Outre ce point, Armoury Crate SE vous permet surtout de tenir la console à jour via son menu Contenu et à configurer le Centre de Contrôle dans la partie paramètres. Qu'est-ce que ce Centre de Contrôle allez vous nous dire ? Eh bien le voici :

Un overlay que vous pourrez appeler à tout moment via le second bouton en haut à gauche de l'écran. Il permet de gérer les profils de la console (ici sur batterie en mode performance limitant le TDP de l'APU à 15W), mais propose également des raccourcis vers d'autres fonctions facilitant l'usage d'un PC sous Windows lorsque l'on n’a pas de clavier pour faire un Alt + Tab ou régler la luminosité de l'écran. Vous pourrez choisir quelles options y faire apparaître et le tout est assez bien réalisé, le fait de le faire apparaître ne créant pas de latence en jeu et n'ayant jamais posé problème, que ça soit sous Windows où l'un des jeux de notre panel.

Le second bouton "Mode de Contrôle" permettra de définir la façon dont vous interagirez avec les différentes méthodes de saisies proposées. Puisque la ROG Ally est composée d'un gamepad et d'un écran tactile, vous pourrez basculer de l'un à l'autre ou laisser la console décider. Dans le cadre de notre présentation ici, nous vous conseillons cependant de passer manuellement en mode "Manette de jeu" en jeu, car le mode "Auto" se la joue parfois hybride et un doigt posé par inadvertance sur l'écran faisant danser les sabres de ce cher Cal Kestis, ce qui n'était pas très pratique dans un jeu où le moindre déplacement malencontreux peut vous coûter un Game Over.

L’œil averti aura remarqué un gros bouton "Clavier" entouré de bleu. Il est sélectionné alors qu'aucun clavier n'est apparent, car nous avons eu à l'utiliser (pour appuyer sur F10 et lancer un enregistrement des performances pour tout vous dire), mais puisque nous avons fermé le clavier via la petite croix disponible sur toutes les fenêtres Windows, le logiciel n'a pas mis à jour son affichage. D'une nouvelle pression le clavier réapparaitra, et nous en profitons pour vous le présenter.

C'est tout simplement le clavier virtuel intégré à Windows 11. Pourquoi réinventer la roue puisque ce dernier est complet et fonctionnel ? La présence de la touche Fn permettra d'accéder aux F1 à F12 et il prend même en charge les combinaisons à 2 (Alt + Tab) et 3 touches (Ctrl + Alt + Suppr). Pour ceux préférant la simplicité d'un clavier type Smartphone ou autre, la roue dentée en haut à gauche du clavier vous permettra de basculer entre les configurations.

En bref, ce Armoury Crate SE est, contrairement à son homologue sans SE, tout à fait utile et fonctionnel, ce qui tombe bien, car il serait bien difficile de profiter de l'environnement Windows sans. Microsoft développera-t-elle un jour une possibilité de gérer Windows directement à la manette ? Personne ne le sait, mais en attendant il faut en passer par des solutions tierces sur ce genre d'appareils.

Et côté BIOS ?

Puisque nous sommes sur une console PC, il ne faut pas oublier la dimension PC de la bête. C'est ainsi qu'un BIOS est au commandes de la carte mère et vous vous demanderez certainement comment y accéder sans un clavier sur lequel spammer les touches "Echap" ou "Suppr" (ce qui est faisable en branchant un clavier sur un adaptateur USB Type-C au besoin). Si Windows n'est pas adapté à l'utilisation manette, le BIOS de la ROG Ally a été conçu pour y convenir. Ainsi, en appuyant sur le bouton de réduction du volume de façon répétée après la mise en fonction de la console, vous arriverez sur ceci :

Un BIOS UEFI typique ROG, où les raccourcis clavier ont été remplacés par les touches disponibles sur une manette Xbox. Vous pourrez vous déplacer avec la croix directionnel comme vous le faites avec les flêches d'un clavier, utiliser l'un des joysticks pour déplacer le curseur de la souris, ou utiliser l'écran tactile à votre convenance. Que ce soit en EZ Mode ou en Advanced, vous n'aurez accès qu'à des fonctionnalités de base. Pas de modification de profil de ventilation ou bricolage de l'APU ou de la RAM. Il vous sera cependant possible de modifier la séquence de démarrage si d'aventure vous vouliez installer autre chose que Windows sur l'engin via USB, ou simplement le réinstaller, par exemple dans le cas d'un achat de SSD de capacité supérieure. Comme sur la majorité des appareils ROG, vous y trouverez également ASUS Cloud Recovery pour remettre la machine à zéro et ASUS System Diagnostics pour vérifier l'intégrité du SSD, des batteries, des ventilateurs, du Wi-Fi, de l'écran, de la RAM et enfin du port USB. En bref - et pour satisfaire les amateurs de Twingo - elle a tout d'une grande !

Ghiom


  • ça fait cher la console pour seulement du streaming, car clairement elle est deja a genoux ou presque sur les jeux, donc ça ira qu'en s'empirant. J'ai beaucoup de mal a trouver du positifi sur cette "console" surtout face au steam deck.

     

    Quitte a l'utiliser uniquement pour du cloud gaming ou streaming, y a des alternatives bien moins cher ...

  • Veuillez m'excuser d'insister, mais je t'interpelle sur ta conclusion Guillaume.

    Déjà premièrement je trouve ton dossier très bon et je ne remets pas en question ton test, en revanche j'ai un peu de mal a faire corréler ta conclusion avec ton dossier.

    Je m'explique, tu soulignes à juste titre les défauts de la machine, autonomie, performance, ecosystème et même le matériel (qualité d'écran en extérieur par exemple).

    A la lecture, il semble qu'il ne reste plus grand chose de positif, en tout cas pour l'usage qu'il doit en être fait.

    Peut etre est-ce uniquement mon avis personnel, mais j'imagine en l'état cette console plus pour du cloud gaming ou du streaming et y a des alternatives pour ça bien moins chers, donc pour moi même le prix est un problème.

     

    J'ai essayé d'etre le plus constructif possible, n'y voit aucunement une attaque personnel ;)

    • Ne t'excuse donc pas, tu as bien le droit de réagir à nos écrits et je te remercie de le faire.

      Le point positif ici est l'APU Ryzen Z1 Extreme. Là où l'on ne pouvait espérer voir du jeu mobile de qualité PC il y a quelques années (le Steam Deck est certes un chouette produit, mais tout de même ultra limité), on a la une puce qui nous montre enfin que c'est possible. Ce qui l'empêche de vraiment briller, c'est le choix d'une définition d'écran trop haute pour elle, mais Asus aurait-elle pu vendre un appareil équipé d'une dalle 720p ? J'en doute fortement, tant les joueurs tendent à bouder les définitions inférieures au 1440p (les joies des annonces marketing qui deviennent plus importantes que le cahier des charges).

      Tu parles de streaming ou cloud gaming, mais pouvoir faire tourner un Diablo IV à fond sur un écran de 7", ça n'est pas rien et il existe de nombreux jeux du genre qui fonctionneront à merveille sur cette dernière. Perso j'ai apprécié pouvoir faire tourner Jedi Survivor dessus, certes moins bien que sur PC et avec des restrictions, mais avoir la liberté de pouvoir le dégainer à tout instant avait quelque chose de sympathique. Après en l'état, c'est vrai que l'on est sur un espèce d'hybride permettant de jouer à des jeux moyennement gourmands, mais en devant faire un choix pour les titres demandant plus : soit dégrader le visuel ou passer par du streaming ou cloud gaming pour ne pas avoir à le faire.

      Demander d'avoir l'ensemble dans un format pareil et en consommant 30W, ça n'est technologiquement pas possible à l'heure actuelle :)

      • Oui je suis parfaitement d'accord avec ça, et cette limitation matériel sera surement de l'histoire ancienne dans un futur plus ou moins proche.

        Curieux des perfs en emulation, pour qui veut monter la console rétro portable ultime, la par contre je pense que c'est une bonne option.

        EDIT . j'ai vérifié, ça fait tourner la 360 et la ps3 presque les doigts dans le pif, alors pour celui qui a les moyens, ça fait une super console pour l'emulation.

  • je trouve dommage les perf en mode 9 watts

    j'avais espéré des perfs meilleur que le steam deck et ayant du coup une meilleur autonomie

    en 1080p les perfs sont pas ouf mais rien empêche de jouer en 720p

    • En plus un BIOS sorti mardi a modifié le mode silencieux pour le passer de 9W à 10W. À noter que les tests réalisés en jeu sont en 15W (Performance) et 30W (Turbo) pour le coup.

      Par contre, les performances sont indéniablement meilleures que la Steam Deck. :)

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