Entendu par la Federal Trade Commission (FTC) américaine dans le cadre du rachat d'Activision-Blizzard par Microsoft, Bobby Kotick a été contraint à dévoiler une information confidentielle sur la future remplaçant de l'actuelle console Nintendo Switch et plus précisément sa puissance.
Comment le PDG d'Activision-Blizzard à pu en arriver là ? Tout est parti de promesses faites par Microsoft auparavant pour tenter d'amadouer la Commission. La firme avait par exemple indiqué qu'après l'achat d'Activision-Blizzard, elle apportera la licence Call of Duty à de nouveaux joueurs et notamment les possesseurs de consoles Nintendo. Une affirmation qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd et que la FTC s'est empressée de ressortir alors qu'elle interrogeait Bobby Kotick.
C'est ainsi qu'il s'est retrouvé face aux sérieux doutes de la Commission, qui a indiqué qu'elle ne voyait pas comment une telle promesse allait pouvoir être validée, compte tenu des limitations matérielles de la Nintendo Switch. Il n'a eu alors d'autre choix que d'indiquer que la promesse ne concernait pas l'actuelle Nitendo Switch mais celle qui allait lui succéder et qu'il a appelée Next Gen Switch lors de son audition. Il a alors indiqué que la nouvelle venue aura des performances proches de celles des consoles de 8e génération, c'est-à-dire les Sony PS4 et Microsoft Xbox One. Des consoles sur lesquelles la licence Call of Duty est bel et bien présente ce qui rendra des portages tout à fait possibles selon Bobby Kotick. Il a même présenté à la FTC une discussion par mail avec le président de Nintendo, où il évoque justement la possibilité pour Activision-Blizzard d'apporter des jeux sur le Switch 2. (Source : NintendoWorldReport)
