Doom The Dark Age

Rien de mieux qu'en ce jour férié lié à un évènement chrétien, baignant dans la joie et l'allégresse, de se faire un bon trailer de Doom, baignant plus dans l'hémoglobine, un autre style quoi !

Depuis 2016 et le retour de la licence Doom, les développeurs ont bien insisté sur le côté mégalo du slayer, l'agent indestructible à qui rien ne fait peur. Ils ont construit sa légende comme on le faisait dans le cinéma d'action dans les années 90/2000, où les héros étaient quasiment intouchables, souvent mis en difficulté, mais ils s'en sortaient toujours même si ça sentait parfois le roussi. Le prochain épisode Doom, nommé Doom: The Dark Ages, va innover un peu en permettant de piloter des mécas géants afin de foutre des mornifles aux démons, de chevaucher des dragons afin de parcourir des grandes distances, mais son ADN restera intact : hyper violence, gore, nervosité, pas de super combinaison à activer, c'est du FPS brut de décoffrage à l'ancienne. Comme tout Doom qui se respecte, on espère que les commandes répondront au doigt et à l'œil, car il va falloir être mobile pour éviter les tirs ennemis. Les campeurs sont d'ores et déjà morts dans ce jeu ! Côté technique, c'est de l'ID Tech cher à ID Software, probablement le 8 avec quelque chose de ressemblant probablement au Motor, le moteur dérivé de l'ID Tech utilisé dans Indiana Jones, lui permettant d'assumer du path tracing, et tous les upscalings du marché.

Cette ambiance semble réussie, en tout cas les trailers montrés jusque-là semblent le confirmer. Avec le reboot de Painkiller, dans la même veine, les poètes de tous bords, ceux qui pleurent devant "coup de foudre à Notting Hill" ou qui se plongent des heures dans les poèmes de Baudelaire, Doomé par le slayer Verlaine en son temps, auront de quoi faire et de s'éclater. Nous rappelons que le premier à arriver sera Doom, le 13 mai, date à laquelle votre serviteur aura tout juste franchi une nouvelle bulle. 2 minutes 51 à déguster sans modération !

M Galonnier


  • Bonjour Thibaut, merci pour ton actualité sur Doom. J'ai eu tellement de plaisir à jouer au premier du nom, et ça m'arrive encore, et toujours avec le même immense plaisir nonobstant les écrans pixelisés, que je n'ai jamais su me décider à essayer les suivants...

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