Zotac Rtx4070 Super Trinity Black Banniere

Un smoothie d'électrons pour ZOTAC RTX 4070 SUPER Trinity Black au repos, un !

Avec les dernières générations de GPU, AMD et NVIDIA, nous avons appris à analyser la consommation. Détail inintéressant pour certains, nerf de la guerre pour d'autres, la conso aujourd'hui revêt un aspect important, eu égard aux coûts de l'énergie. Nous avons mesuré ce facteur sur le bureau, après 15 minutes de calme absolu, en ayant pris soin de couper tout logiciel/utilitaire lancé en sous-marin, susceptibles de le modifier. Nous l'avons fait à 60 Hz, mais aussi à 144 Hz. Par rapport aux mêmes cartes du marché et ayant le même GPU, la ZOTAC se montre peu économe. En revanche, entre le passage de 60 à 144 Hz, on observe une consommation de 3 w supplémentaires. Cela reste acceptable au final mais peut mieux faire !

ZOTAC RTX 4070 SUPER Trinity Black - Consommation au repos

1Watts - le plus faible est préférable Titre Bureau – 30 minutes \nTitre Court \nSous-titre \nà 60 Hz #76B900 17 \nà 144 Hz #ED1C24 20

Et en charge, c'est comment ?

Pour ce faire, nous avons utilisé notre module PCAT, durant les séances de benchmarks des deux jeux qui composent le panel de test, A Plague Tale Requiem et Cyberpunk 2077. Vous verrez la consommation en rastérisation simple, tous les détails poussés au maximum en QHD, définition adaptée à un tel GPU.

ZOTAC RTX 4070 SUPER Trinity Black - Consommation en jeu

1Watts - le plus faible est préférable Titre Carte graphique seulement \nTitre Court \nSous-titre QHD - Détails Max \nA Plague Tale Requiem #76B900 227,5 \nCyberpunk 2077 #ED1C24 228,6

Si le TGP officiel est de 220 W, la carte s'autorise quelques légères entorses, avec moins d'une dizaine de watts consommés en plus Pour mémoire, GIGABYTE pousse sa carte à une petite vingtaine de watts en sus du TGP. ZOTAC officiellement confirme la consigne de 2475 MHz, alors que son concurrent passe à 2505 MHz. Nous verrons si cette augmentation mesurée de l'enveloppe de consommation a un impact sur les autres facteurs analysés.

M Galonnier

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